29/06/2007 à 07h39

Ah, ça c'est sûr, je ne me ferais pas de mal à une chatte !
J'en suis incapable.
D'abord parce que c'est trop mignon, mais surtout parce que j'ai une incapacité sexuelle qui m'empêche d'honorer cet endroit fascinant de la façon dont pourraient l'attendre les femmes de la part de vrais hommes.
C'est en fait plutôt une incapacité mentale qui fait que je ne bande que très difficilement et que quand ça arrive, mon mental fragile ne parvient pas à contenir mes émois et ma semence se répand alors en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
C'est assez affligeant et fort déplaisant pour les dames qui ont pu me faire la grâce d'accueillir mes ardeurs.
Même si je suis plutôt pas mal et ai un certain charme qui me permet d'accéder parfois aux grâces féminines, j'en suis venu à ne plus importuner ces créatures fascinantes, afin de ne plus me retrouver en cette si piteuse situation et de cesser de les frustrer aussi lamentablement.
Ainsi, depuis maintenant plus de 2 ans, je n'ai pas touché une femme.
Néanmoins, je reste fasciné bien sûr ; mais en fait, j'ai trouvé ma place.
Ma place est au pied des femmes.
A celles (infiniment rares) qui acceptent cette curieuse situation, je rends hommage à leurs charmes, sans la moindre velléité de possession mâle et, avec le plus grand respect, je contemple et admire chaque parcelle de leurs corps délicieux, en astiquant mon appendice inutile pour leur manifester mon émoi et mon enchantement.
Je suis en quelque sorte cantonné à une complicité platonique.
Elles savent que je suis inoffensif et parfois même s'en amusent un tantinet.
Et en fin de compte cette situation me plait, je l'avoue.
J'y suis bien à ma place, je vis ma sexualité de puceau sans avoir à jouer ce rôle de mâle que je n'ai aucunement droit  à revendiquer.
Ah non, je ne ferais pas de mal à une chatte, c'est bien vrai ...

06/08/2006 à 14h57 

... j'ai 48 ans et je peux le dire, j'ai toujours été un grand branleur, toujours.
Je me suis fait dépucelé à 24 ans.
Alors c'est sûr que jusque là, je me suis astiqué comme un forcené, en culpabilisant à outrance d'ailleurs.
Bien sûr, j'étais  attiré par les filles. Mais j'avais l'air trop jeune, j'ai toujours fait plus jeune que mon âge ; maintenant ça me plait car je parais à peine quarante. Mais à cette époque, quel décalage, quel drame.
Et puis je ne connaissais pas les filles (pas de petite soeur, pas de petite voisine, école de garçons) ; c'étaient pour moi des créatures fascinantes et inaccessibles. Et elles le sont restées.
Bref, une adolescence de frustré. Ca marque !
On ne s'en remet pas vraiment.

Après ce dépucelage, j'ai connu quelques autres filles.
Et j'ai cru que c'était arrivé !
Tu parles, Charles.
J'ai retaté un peu de la branlette et me suis rendu compte que c'était autre chose que de faire l'amour et pas si désagréable non plus. Du coup j'ai continué et sans culpabiliser.
Et puis j'ai rapidement connu ma femme.
Je l'adore et l'adore toujours.
Mais pas de dessins, après quelques années, ça devient plus difficile.
La frustration s'installant, la branlette reprit de plus belle.

Et puis, même si j'ai une plutôt belle queue (la belle affaire !), il faut dire que je suis du genre éjaculateur précoce (normal, non ?). Aussi, à part de rares fois, ça n'a pas été extraordinnaire. On la comprend, ma femme. Même si c'est surtout la tendresse qui compte, etc.

Et maintenant ... depuis quelques années, je l'ai un peu molle.
On ne fait l'amour que 2 fois par an.
Voilà.
Aujourd'hui, je n'ai pas fait l'amour depuis plus de 6 mois et ne me suis fait sucé, ni n'ai lappé de vulve, depuis fin 2004.
Beau score, non ?

Du coup, je me branle plus que jamais et aujourd'hui, je peux bien le dire : ma vraie sexualité, c'est la branlette.